les secrets de l'aura
la photographie Kirlian :
l'utilisation d'ondes radioélectriques longues
révèle que les organismes vivants,
plantes et animaux, sont entourés d'un duvet
lumineux.
doigt - photo Kirlian
Ce procédé fut inventé par Semyon et Valentina
Kirlian, de la Russie du Sud.
Cette photographie montre l'éxtrémité du doigt
d'un homme en bonne santé, entouré d'un brouillard
lumineux.
Chose curieuse, lorsque le sujet tombe malade,
l'aura reflète les symptômes de changement
et d'irrégularité.
photo Kirlian d'une extrémité d'un doigt
Photographie normale d'une feuille saine de géranium.
feuille de géranium saine
Photographie Kirlian de la même feuille,
entourée de son aura.
A ce stade, l'aura est formée
d'émanations bleuâtres qui rayonnent de façon
éclatante et régulière pour dessiner un brouillard
lumineux autour de la silhouette de la feuille.
feuille - aura
la feuille morte
L'atmosphère lumineuse a disparu et le limbe
est maintenant presque entièrement rouge.
feuille morte - aura
Au cours des années 80, les recherches menées
dans les domaines de l'énergie humaine
se sont perfectionnées et ont été vérifiées de façon
plus scientifique.
Le procédé connu sous le nom de photographie Kirlian
montre que tous les êtres vivants émettent
des radiations lumineuses et colorées,
qui sont invisibles dans les conditions normales.
Il n'y a pas si longtemps, l'acupuncture,
pratique chinoise ancienne qui consiste à enfoncer
des aiguilles dans le corps pour prévenir
et guérir des maladies, était au yeux de beaucoup
d'Occidentaux, une méthode insolite
et non scientifique.
Désormais, grâce à la photographie Kirlian,
on a découvert une correspondance exacte
entre les points où les rayonnements de lumière
et de couleur émis par l'organisme
sont les plus intenses et les points
où les acupuncteurs plantent leurs aiguilles.
Les 13 postures, et le cycle de Jade
sont une approche pratique de l'aura.
Les Chinois l'ont depuis toujours appelée
"le Qi externe", par opposition au Qi,
qui circule dans les méridiens.
Le Qigong travaille naturellement
sur les 2 formes.
A l'ouverture, l'énergie est mobilisée
dans les centres vitaux, puis conduite
dans le Qihai, le siège des énergies physiques.
Pendant l'enchaînement, elle est stimulée
en appuyant sur "l'abîme suprême",
un point-clef du méridien du poumon.
Au cours de l'enchaînement,
on travaille sur le Qi externe (l'aura),
via la balle d'énergie et les diverses poussées.
Lors du shougong, la fermeture,
on revient sur le Qi pour le ramener au Qihai,
pour qu'il se régénère
(pendant l'enchaînement, on travaille
avec de l'énergie activée, hautement mobilisée,
qu'il ne faut pas laisser traîner
dans les méridiens).
Comme vous voyez, Jade visait beaucoup plus haut,
en créant ses cycles, qu'une simple gymnastique
de santé.