Il y a déjà bien moyen de trier tous ces réseaux sociaux avec un critère : est-ce un logiciel libre, ou pas ?
Facebook de même que la plupart des réseaux sociaux connus ne sont pas des logiciels libres.
Une des préoccupations qui tient une partie de la population à l'écart de réseaux sociaux ordinaires, c'est qu'on approvisionne ces réseaux en données... et que les entreprises qui gèrent ces réseaux sociaux en font à peu près ce qu'elles veulent ensuite (analyse publicitaire, revente, contrôle...).
Il faut donc pouvoir rétablir le lien de confiance entre l'utilisateur/trice, et les personnes qui gèrent le réseau social. Une des façons est de reléguer la gestion du réseau social à une association, voire à plusieurs associations qui coopèrent (on parle alors de "fédération").
La corollaire de cette multiplicité d'acteurs (plusieurs associations) est que les données ne peuvent pas être captives : on doit pouvoir les sortir du réseau, pour pouvoir les mettre ailleurs, ou les laisser chez soi.
Il y a des associations concernées par les libertés numériques dans à peu près chaque département, et ce sont aussi des choses qui sont en train de se monter (voir l'initiative
CHATONS de Framasoft).
Tant que les initiatives de nouveaux réseaux sociaux ne s'inscrivent pas dans ce type de démarche (logiciel libre,
interopérabilité, acteurs de confiance...), c'est de l'esbrouffe, une nouvelle tentative de domination d'un marché, ou bien de la naïveté.
Il y a déjà bien moyen de trier tous ces réseaux sociaux avec un critère : est-ce un logiciel libre, ou pas ?
Facebook de même que la plupart des réseaux sociaux connus ne sont pas des logiciels libres.
Une des préoccupations qui tient une partie de la population à l'écart de réseaux sociaux ordinaires, c'est qu'on approvisionne ces réseaux en données... et que les entreprises qui gèrent ces réseaux sociaux en font à peu près ce qu'elles veulent ensuite (analyse publicitaire, revente, contrôle...).
Il faut donc pouvoir rétablir le lien de confiance entre l'utilisateur/trice, et les personnes qui gèrent le réseau social. Une des façons est de reléguer la gestion du réseau social à une association, voire à plusieurs associations qui coopèrent (on parle alors de "fédération").
La corollaire de cette multiplicité d'acteurs (plusieurs associations) est que les données ne peuvent pas être captives : on doit pouvoir les sortir du réseau, pour pouvoir les mettre ailleurs, ou les laisser chez soi.
Il y a des associations concernées par les libertés numériques dans à peu près chaque département, et ce sont aussi des choses qui sont en train de se monter (voir l'initiative [url=https://chatons.org/]CHATONS[/url] de Framasoft).
Tant que les initiatives de nouveaux réseaux sociaux ne s'inscrivent pas dans ce type de démarche (logiciel libre, [url=https://fr.wikipedia.org/wiki/Interop%C3%A9rabilit%C3%A9]interopérabilité[/url], acteurs de confiance...), c'est de l'esbrouffe, une nouvelle tentative de domination d'un marché, ou bien de la naïveté.
:evil: